Ayant sans mauvais jeu de mot, littéralement travesti le milieu des luttes féministes, le mouvement transactiviste a notamment pour principal objectif de créer une contre-culture qui sera profitable au capital. Le lourd traitement médical dont est socialement ou chimiquement rendu dépendant l’individu transgenre est une manne pour industrie pharmaceutique : suicide exclu, un transgenre est un cancéreux qui ne meurt pas.
Axelle, femme détrans, nous explique sans détour et avec un esprit d’analyse hors du commun, le quotidien et les manipulations dont sont soumises au quotidien les personnes transexuelles à la fois par les institutions et par les hommes prétendument bienveillants, qui ne veulent que continuer à les exploiter : militants associatifs, pédophiles, chirurgiens et proxénètes …
Merci à Axelle pour son courage et son témoignage.
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